D’une petite princesse à son petit prince
Tu es le prince de la terre
Tu as de l’Amour dans le coeur
Je trouve tes yeux scintillants d’Amour
C’est pour ça que je t’Aimerai tout le temps!
( EMMA 7ans)
Tu es le prince de la terre
Tu as de l’Amour dans le coeur
Je trouve tes yeux scintillants d’Amour
C’est pour ça que je t’Aimerai tout le temps!
( EMMA 7ans)
L’amour est vraiment quelque chose d’incroyablement mystérieux quand on y pense, il arrive quelque f…ois quand on s’y attend le moins, en un lieu improbable parfois avec une personne que vous êtes seul à voir, une personne que vous savez être votre totale opposée, même s’il n’y a aucun fossé qui ne puisse se combler avec de l’amour réciproque mais que la raison vous dit d’oublier pourtant le coeur lui ne l’entend pas. D’ailleurs plus vous voulez l’effacer, le nier, plus vous y pensez. Nager à contre courant épuise jusqu’à la noyade. Que faire? accepter, renoncer et avancer.
Par :Patrick Michel
Georges De Scudéry
Les petits enfants s’imaginent avec facilité les choses qu’ils désirent et qu’ils n’ont pas. Quand ils gardent dans l’âge mûr cette faculté merveilleuse, on dit qu’ils sont des poètes ou des fous. »
A défaut d’être poètes, soyons fous…;-)
ANATOLE FRANCE
Par amour je suis gai,
Et tant que je vivrai,
Ne me dédirai,
Dame Joli-Corps
Me levai un beau matin,
A pointe d’aubette,
Je m’en fus dans un verger
Cueillir la violette.
De loin j’entendis
Un chant bien plaisant,
Trouvai jolie pastourelle
Ses agneaux gardant.
Dieu vous garde, pastourelle,
Couleur de rosette,
De vous je m’étonne fort
Que vous soyez seullette.
Habits vous aurez,
Si cela vous plaît,
Bien menu lacé
A filets d’argent.
Seriez vous fol, chevalier,
Plein d’extravagance
Car vous m’avez demandé
Ce dont je n’ai cure,
Père et mère j’ai
Et mari j’aurai,
Et si à Dieu plaît,
M’honoreront bien.
Adieu, adieu, chevalier,
Mon père m’appelle,
Je le vois là qui laboure
A bouefs sur l’artigue,
Nous esmons blé,
Aurons grand’ récolte,
Et si acceptez,
Froment vous aurez.
Mais quand il la vit aller,
Courut après elle,
La prit par sa blanche main,
La coucha dans l’herbe,
Trois fois la baisa
Sans qu’elle dît mot,
Mais quand vint la quatrième :
« Seigneur, à vous je me rends ! »
Troubadours anonymes