La phrase d’Amour du jour
« Ne vous contentez pas de la personne avec qui vous pouvez vivre;
trouvez la personne sans qui vous ne pouvez pas vivre! »
« Ne vous contentez pas de la personne avec qui vous pouvez vivre;
trouvez la personne sans qui vous ne pouvez pas vivre! »
Hier, la nuit d’été, qui nous prêtait ses voiles,
Etait digne de toi, tant elle avait d’étoiles !
Tant son calme était frais ! tant son souffle était doux !
Tant elle éteignait bien ses rumeurs apaisées !
Tant elle répandait d’amoureuses rosées
Sur les fleurs et sur nous!
Moi, j’étais devant toi, plein de joie et de flamme,
Car tu me regardais avec toute ton âme !
J’admirais la beauté dont ton front se revêt.
Et sans même qu’un mot révélât ta pensée,
La tendre rêverie en ton coeur commencée
Dans mon coeur s’achevait!
C’est Dieu qui mit l’amour au bout de toute chose,
L’amour en qui tout vit, l’amour sur qui tout pose !
C’est Dieu qui fait la nuit plus belle que le jour.
C’est Dieu qui sur ton corps, ma jeune souveraine,
A versé la beauté, comme une coupe pleine,
Et dans mon coeur l’amour!
Laisse-toi donc aimer ! – Oh ! l’amour, c’est la vie.
C’est tout ce qu’on regrette et tout ce qu’on envie
Quand on voit sa jeunesse au couchant décliner.
Sans lui rien n’est complet, sans lui rien ne rayonne.
La beauté c’est le front, l’amour c’est la couronne :
Laisse-toi couronner !
Ce qui remplit une âme, hélas ! tu peux m’en croire,
Ce n’est pas un peu d’or, ni même un peu de gloire,
Poussière que l’orgueil rapporte des combats,
Ni l’ambition folle, occupée aux chimères,
Qui ronge tristement les écorces amères
Des choses d’ici-bas ;
Non, il lui faut, vois-tu, l’hymen de deux pensées,
Les soupirs étouffés, les mains longtemps pressées,
Le baiser, parfum pur, enivrante liqueur,
Et tout ce qu’un regard dans un regard peut lire,
Et toutes les chansons de cette douce lyre
Qu’on appelle le coeur !
Il n’est rien sous le ciel qui n’ait sa loi secrète,
Son lieu cher et choisi, son abri, sa retraite,
Où mille instincts profonds nous fixent nuit et jour ;
Le pêcheur a la barque où l’espoir l’accompagne,
Les cygnes ont le lac, les aigles la montagne,
Les âmes ont l’amour !
Victor Hugo (1833)
« Le bonheur est un papillon. Si nous le poursuivons, il est toujours un pas devant nous, mais si nous nous asseyons calmement, il viendra peut-être se poser sur nous ».
« La soif du coeur ne s’apaise pas avec une goutte d’eau mais avec une cascade d’affection et d’amour! »
Je ne vous connais pas… vous.
C’est peut-être vrai, moi non plus.
De ces mots qu’attendez-vous ?
Est-ce une ingérence voulue ?
Ça fait déjà trente secondes…
J’aimerais pouvoir vous dire tu.
Dites, ce genre de choses abonde,
Chez ceux qui ont tout prévu ?
Reste étranger, l’inconnu.
Les yeux changent en disant « TU ».
Et les saines pensées affluent.
C’est un peu comme pour marcher,
Faire le pas vers l’inconnu,
Et vouloir recommencer…