LES MOTS EN POINTILLÉS
Le temps se suspend
Aux crochets de l’amour
Le vent vient de tomber
Sur ton corps assoupi
Le soleil se fait tendre
Et ma main se rapproche
Ton corps se ranime
D’une tendresse rebelle
Les persiennes de tes cils
Doucement me font signe
Le temps se suspend
Aux crochets de l’amour
Nos vies sont opalines
Loin du marbre de la cité
Et voici l’ombre mouvante
De la déraison
Qui s’installe
Devant nos murmures
Ton souffle joue sur ma peau
Un zeste de survie
Pour calmer
Mon errance
Nos doigts s’enchevêtrent
Près du tam-tam intime
De nos cœurs
Enlacés
Nos vies sont opalines
Loin du marbre de la cité…
Chantsongs
à Marie-Véronique H.
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour rédiger un commentaire.