( 21 janvier, 2011 )

Si nous n’étions pas de ce temps
Nous serions Salomon et la Sulamite
Si notre époque n’était pas maudite
Nous serions d’heureux amants
Si nous n’étions pas mortels
Notre amour serait sempiternel
Si nous n’étions pas humains
Notre histoire aurait eu un lendemain
Si nous avions prôné la sainteté
Nous aurions vaincu tous les diables
Si nous n’étions pas voués à la fatalité
Nous serions encore ensemble!
Benrich
( 21 janvier, 2011 )

La tendresse on pourrait en parler pendant des heures et écrire des pages à son sujet sans jamais avoir le bonheur de la connaître tout à fait.
La tendresse est partout. Elle se cache dans nos gestes. Elle vit au coeur de nous.
Elle se fait caresse. Elle se fait mot doux.
Elle réconforte les chagrins et elle accueille les confidences.
Elle transforme le quotidien en petites vacances nourries de douceur et de délicatesses.
La tendresse se dévoile au fil des jours ajoutant à la vie des moments de paix et d’harmonie.
Apprendre à s’aimer.
Sais-tu que la personne la plus importante, c’est toi.
Sais-tu que tu n’es responsable que de toi?
Aimes-toi donc suffisamment
pour ne prendre en charge que ta vie.
C’est déjà si compliqué.
Tu aimes les autres suffisamment
pour les laisser en faire autant.
Car vois-tu tu ne dois la fidélité
qu’à tes idées à toi-même.
Tu possèdes tant de qualités.
Pourquoi t’oublier?
Pourquoi te nier?
Pourquoi ne pas t’aimer?
Tu suis ton chemin et
tu poursuis ta route.
Arrêtes-toi de temps en temps et
tu regardes autour de toi.
Il se trouvera toujours
quelqu’un ou quelque chose
qui te guidera.
Va au-delà de tes peurs.
C’est toujours là que se trouve le bonheur.
Tu vis l’amour, l’amitié
avec intensité et sincérité.
Tu prends le temps de te connaître et
tu prends le temps de t’apprécier.
Tu prends le temps de t’aimer
et ne laisse surtout passer
aucune raison de cheminer.
Nathalie
( 21 janvier, 2011 )

Le baiser d’une poésie
écoulements de mon stylo
à votre coeur
Prolongé, désirant ardemment
En tant que silencieux embrasser
Bien que nous soyons distants
Notre contact de mots
Comme lèvres, recherchant doucement
Les vers font frémir l’âme
Séparation d’une
Dans le bleu isolé de ciel
Jusqu’à ce que nous soyons sains et saufs
Douleurs dans les strophes
Mandat avec l’abondance
En tant que larmes congelées à temps
Profond et seul
‘Jusqu’à l’océan est le fleuve
Et vous devenez les miens
Debbylyn