Messagers des dieux grecs, inspirateurs des prophètes ou des grands chefs indiens, nos récits oniriques ont toujours été perçus comme des guides bénéfiques. Freud, puis aujourd’hui certaines études scientifiques, confirment qu’ils sont des « contenants » réellement nécessaires à notre survie. « Gardiens du sommeil » pour l’inventeur de la psychanalyse, ils nous aident en premier lieu à rester plongés dans le repos. Ainsi, rêver qu’il boit à une source d’eau fraîche évite à celui qui a soif de se réveiller.
Notre vie onirique nous permet aussi de recycler, trier, éliminer certaines informations accumulées lors des événements de la journée. Grâce à nos rêves, nous rejetons le superflu, dégageons nos priorités. Et assouvissons enfin, si l’on en croit Freud, nos désirs les plus inavouables. De quoi nous reconstruire et partir d’un bon pied chaque jour, en quelque sorte.
Surtout, les rêves semblent avoir le pouvoir de nous mettre en contact avec une réserve de connaissance ancestrale et universelle. Pour les Aborigènes, les visions oniriques préexistent d’ailleurs au rêveur. Elles sont « avant » lui et fondent l’univers. « Nous disposons dans nos rêves d’un fonds de connaissances beaucoup plus vaste que celui que nous possédons à l’état de veille », affirme le psychanalyste Guy Corneau. La preuve : nous découvrons parfois dans notre sommeil des symboles ou des mots que nous ignorons ou n’utilisons jamais consciemment.
Et si par hasard il arrive que je mette dans mes textes un écrit qui serait le votre(trouvé au fil de mes lectures sur internet)
n'hésitez pas à me le faire savoir!! je corrigerais cette erreur immédiatement!!j'y ajouterais votre nom avec grand plaisir!!
bien à vous...Manounie
Messagers des dieux grecs, inspirateurs des prophètes ou des grands chefs indiens, nos récits oniriques ont toujours été perçus comme des guides bénéfiques. Freud, puis aujourd’hui certaines études scientifiques, confirment qu’ils sont des « contenants » réellement nécessaires à notre survie. « Gardiens du sommeil » pour l’inventeur de la psychanalyse, ils nous aident en premier lieu à rester plongés dans le repos. Ainsi, rêver qu’il boit à une source d’eau fraîche évite à celui qui a soif de se réveiller.
Notre vie onirique nous permet aussi de recycler, trier, éliminer certaines informations accumulées lors des événements de la journée. Grâce à nos rêves, nous rejetons le superflu, dégageons nos priorités. Et assouvissons enfin, si l’on en croit Freud, nos désirs les plus inavouables. De quoi nous reconstruire et partir d’un bon pied chaque jour, en quelque sorte.
Surtout, les rêves semblent avoir le pouvoir de nous mettre en contact avec une réserve de connaissance ancestrale et universelle. Pour les Aborigènes, les visions oniriques préexistent d’ailleurs au rêveur. Elles sont « avant » lui et fondent l’univers. « Nous disposons dans nos rêves d’un fonds de connaissances beaucoup plus vaste que celui que nous possédons à l’état de veille », affirme le psychanalyste Guy Corneau. La preuve : nous découvrons parfois dans notre sommeil des symboles ou des mots que nous ignorons ou n’utilisons jamais consciemment.
Ce que vous écrivez est très beau, bonne continuation…